Ragnarök Online - Guilde Valhalla
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 un p'tit kokusho

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4 participants
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Kokusho

Kokusho


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Guilde : valhalla
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MessageSujet: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeLun 22 Oct - 22:14

Une brume matinale nappait le sol du hall lorsque une ombre commença à se détacher au loin. Vêtu simplement, on aurait su dire si il était guerrier ou simple vagabond, il portait seulement un juste-au-corps de cuir ainsi qu’un pantalon en tissu et des bottes en cuire souple, ses vêtements montrait qu’il avait effectué un long voyage pour arriver ici.
D’apparence modeste on n'aurait pu croire qu’il était dans le métier des armes si on ne prêtait attention à son épée courte qui se trouvait à sa ceinture. A sa ceinture se trouvait un étrange blason en guise de boucle, représentant un loup à deux têtes, cerclé de piques.

Le jeune homme s’avança un peu plus, son visage était aussi chaleureux que la glace recouvrant l’étendu d’eau se trouvant dans le hall. Il fit quelques pas et laissa tomber lourdement le sac qu’il transportait.

Regardant autour de lui et ne voyant personne, il repris son sac pour commencer à explorer les lieux, il vit vit au loin les lueurs d’un grand feu et s’y dirigea, là bas il y trouva une personne, vêtu d’un long manteau aux couleurs de la guilde, on pouvait y voir également l’emblème [haha, surprise] malgré la poussière recouvrant ses habit, sans échanger une seule parole, les deux étranges personnes s’échangèrent deux parchemins, le jeune homme reçut également une bourse ; l’échange effectué, l'étrangé vêtu d’un long manteau ne s’attarda pas plus et laissa seul l’autre.

Une fois seul, le jeune homme déroula le parchemin et le parcouru des yeux, puis le jeta au feu, rangea la bourse dans son sac, et retourna sur ses pas pour trouver un endroit ou s’installer ainsi que trouver les fournitures dont il aurait éventuellement besoin.

Il n’eu pas besoin de chercher longtemps pour trouver l’un des temples d'Odin, les prêtres guerriers fournissent aux combattants sans guildes et aux mercenaires un abris et le matériel nécessaire contre des donations quels quelles soient. A l’entrée du grand temple, le prêtre gardant l’entrée lui demanda de signer le registre ainsi que les raisons de sa venue. il regarda le pretre , saisi le grimoire et signa le registre puis déclara « Kokusho Kamigawa, je suis mercenaire, je souhaite seulement une couche et de quoi me nourrir, mes affaires doivent déjà être arrivés par le bateau de ce matin. »

Sans attendre la réaction du prêtre,il repris sa marche et se dirigea tout droit vers le bâtiment réservé aux mercenaires. Chaque temple d'Odin est construit selon les mêmes règles. Une fois installée dans une cellule inoccupée, Kokusho commença à sortir ses affaires de son sac, il ne s’y trouvait que de simples vêtements ; une armure complète en maille l’attendait dans l’armurerie ainsi que ses armes.
Une fois ses affaires rangées, il sorti de sa cellule et interpella un prêtre qui passait par là.
« Pardonnez prêtre, avez-vous entendu parler d’un certain [***] ? »
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Herwen

Herwen


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Guilde : Valhalla
Date d'inscription : 15/08/2007

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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 7:06

Bienvenue chez les Valhalla vaillant guerrier! Que les dieux vous accompagnent.
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YueyeHua

YueyeHua


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Guilde : Valhalla
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 10:59

Nyuuuu... Alors soit il manque la suite, soit j'ai pas tout suivi...
Dans tous les cas, j'aimerai bien une suite !
(Encore que je voudrai bien moins de fautes d'orthographe aussi XD)
Mais sinon c'est sympa. ^^
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Kokusho

Kokusho


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Guilde : valhalla
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 11:27

j'ai pas tout mis d'un coups mais si tu veux voila la suite (ce n'est pas encore fini)

Le prêtre dévisagea le jeune homme et fit un signe négatif de la tête. Le jeune guerrier continua sa route et fit le tour du temple pour en examiner les résidants ainsi que l’environnement. Une fois sa promenade terminée, il se dirigea vers l’armurerie pour y retrouver ses affaires, le prêtre s’occupant des lieux était court sur pattes et avait une forte bedaine, son visage était assez joviale et ses petits yeux avait toujours un regard perçant malgré l’âge important de l’homme.

Kokusho s’avança au comptoir et tendit un billet sur lequel se trouvait le numéro de la caisse contenant ses affaires, le vieil homme lui demanda de le suivre pour aller chercher la caisse. Le hangar où étaient stocké les arrivages était situé derrière l’armurerie, il était vaste et rempli d’un bazar sans nom, Kokusho se demanda comment le vieil homme pouvait s’y retrouver, ce dernier se dirigeait dedans sans hésitation, malgré sa petite taille, il se déplaçait rapidement, après avoir parcourut tout le hangar, le prêtre s’arrêta soudain face à un amoncellement de caisses, il se tourna vers Kokusho et lui montra l’une des caisses se trouvant en haut « Elle est là vot’ caisse mon p’tit », Kokusho regarda le prêtre de travers « Déjà je ne suis pas votre « p’tit » (malgré qu’il ne soit pas bien agé il est vrai) et ce n’est pas ma caisse, je la reconnaîtrait ». Le prêtre regardât sa liste puis la caisse tout en haut « Ah nan, vous z ‘avez raison ’ Bon, elle doit êt’ dans l’coin alors » Il fit quelque pas et tapât du pied une autre caisse «Et celle là ’ », Kokusho hocha de la tête et ouvrit la caisse avec une barre de fer qui traînait par terre « Oui c’est bien elle, toutes mes affaires y sont, je vous remercie l’ancêtre », le vieux prêtre ignora la remarque du mercenaire et repartit aussitôt vers son comptoir.

Kokusho referma la caisse et la souleva pour l’emmener dans sa cellule, malgré sa frêle carrure, le jeune mercenaire pris la caisse sur son épaule comme si elle ne pesait rien, malgré que le poids de la caisse ne la gênait pas, le fait de buter contre des objets traînant par terre ne l’empêcha pas de jurer « Par Thor, c’est quoi ce maudit hangar, on dirait une étable pour Peco ».

Une fois son matériel apporter dans sa cellule, examiné, nettoyé et rangé, il revêtit son armure de maille pris son épée et sa rapière puis se dirigea vers le terrain d’entraînement pour se défouler un peu.

Après quelques heures passer à s’entraîné, Kokusho montrait seulement quelques faibles signes de fatigue, son souffle était toujours régulier et à peine quelques goûtes de sueur perlait sur son visage. Tandis qu’il allait se désaltérer, un des mercenaires qui se trouvait sur le terrain d’entraînement se dirigea vers Kokusho, le bousculât pour prendre sa place à la fontaine. Kokusho regardât l’homme, il était grand (pour ne pas dire gigantesque) avec une forte musculature, une odeur désagréable se dégageait de lui, mais Kokusho ne se préoccupât pas plus que nécessaire de l’aspect du guerrier et lui déclara d’un ton tranchant « La porcherie est de l’autre côté du Temple, tu devrais y retrouver tes paires ! » L’homme se retourna, son visage était congestionné par la rage « Tu sais à qui tu parles gamin ! Je vais t’apprendre à respecter les plus fort que toi ! » Il poussât Kokusho qui se laissa tomber sur le sol, une fois à terre, le guerrier lança un coup de pied en visant le visage du mercenaire, mais il n’atteignit que son épaule protégé par une épaulette en fine plaque d’un étrange métal. Kokusho se redressa et regarda droit dans les yeux son adversaire « Si tu veux te battre, viens sur le terrain ». Sans se faire prier, le guerrier alla chercher une épée sur un des râteliers, pris un bouclier et alla dans le cercle réservé pour les duels. Kokusho le suivi, il sorti sa rapière de son fourreau et ramassa son épée qui était tombé lors de la bousculade.

Une fois dans le cercle, une personne du public qui s’était formé autour des deux mercenaires s’avança « Veuillez vous saluer, le combat s’arrêtera au premier sang versé ou si l’un de vous sort du cercle, aucun coup n’est interdit, et que le meilleur gagne ! ».

Le grand guerrier s’élança avec un cri de rage sur le jeune guerrier et frappa de son épée en visant le cou de celui-ci, mais voyant l’attaque arrivée, Kokusho esquiva avec une grâce féline l’attaque et frappa mesquinement le bouclier du guerrier avec le plat de son épée puis effectua quelques pas en arrière pour se mettre hors de portée du coup de bouclier hasardeux effectué par le guerrier. Celui-ci se retourna aussi tôt et reparti à l’assaut de Kokusho, il se lança dans un assaut frénétique, ses yeux injecté de sang montrait clairement que le premier sang versé ne sera pas une simple égratignure, mais une blessure mortelle. Kokusho reculât petit à petit sous l’assaut du guerrier, les coups puissants portés par ce dernier ne lui laissèrent pas beaucoup de choix, les chocs sur ses lames lui donnaient mal aux bras malgré sa résistance dont il était si fièr, acculé, il n’eu d’autres choix que de rompre l’assaut du guerrier, alors que ce dernier allait donner un large coup à la taille, Kokusho se précipita sur le guerrier, se trouvant à quelques centimètres de lui, surpris par ce mouvement il se retrouva déséquilibré, Kokusho en profita pour bousculer le guerrier, ce qui le fit reculer de quelques pas, Kokusho profita de se répit pour lancer son assaut, contrairement à son adversaire, ses frappes étaient appuyées avec une force suffisante et non oppressante comme celles de quelqu'un qui ne maîtrise pas sa force, ses attaques étaient faites tant avec sa rapière que son épée, forçant ainsi son adversaire à seulement défendre et reculer petit à petit, l’assaut mené par Kokusho était ponctué par des coups mené avec grâce, mais on voyait nettement qu'il ne faisait que jouer avec son adversaire.

Une fois le guerrier acculé dans un coin, Kokusho recula pour se replacer au centre, le guerrier ne pris pas la peine de reprendre son souffle qu’il lança un nouvel assaut, mais Kokusho parait la première attaque et se mettait hors de porté, c’est alors qu'il commençât à effectuer des petits assauts, le guerrier se trouvant au centre de l’arène, Kokusho dansait autour de lui en lançant une attaque éclaire puis se retirait hors de portée, son adversaire exténué n’avait plus la force de courir après le guerier, Kokusho se fit de plus en plus oppressant, ses attaques se faisant de plus en plus rapide avec une fréquence qui ne cessait d’augmenter. A bout de souffle le guerrier mis un genoux à terre, voyant cela Kokusho arrêta ses attaques et se dirigea en dehors de l’arène tournant le dos à son adversaire, c’est alors que le guerrier se précipita sur lui en prenant son épée avec ses deux mains, Kokusho sentant la lame se précipiter vers sa tête fit un pas de côté pour voir l’épée se planter dans le sol et fit sauter la tête du guerrier par un rapide coup de son épée. Le corps du guerrier s’écroula, la tête tombant quelques mètres derrière, puis Kokusho repris sa marche et alla au lavoir pour rincer le sang qui maculait son visage.

Le combat finit, la foule se dispersât, personne ne se préoccupât de la carcasse du guerrier, à croire qu’il n’était guère apprécié.
Une fois le visage rincé, Kokusho se reposa à l’ombre d’un arbre, ses armes posées à ses côtés, celui qui avait établis les règles du combat se dirigea vers lui, c’était un homme d’apparence banale, portant dans son dos un hache de bataille. « Joli combat guerrier, mais le tuer n’était pas nécessaire »
Kokusho ne pris pas la peine de regarder l'homme et luis répondit d'un ton glacial « Il ne méritait pas de vivre, avoir assez de lâcheté pour attaquer dans le dos, et trop d’orgueil pour refuser sa défaite lui a fait perdre sa tête ».
L’étrange homme ne pu s’empêcher de rire après avoir entendu pareil remarque « ça c’est sur, il en a perdu la tête ».
Décidé à vouloir discuter avec le mercenaire, il posa son arme par terre et s’assit en face de Kokusho « Je m’appel Cellendhyle, je fais parti de la compagnie de mercenariat des Anges Noirs, peut être en as-tu entendu parlé ‘ En tout cas j’ai été impressionné par ton combat, malgré sa supériorité physique tu t’es joué de lui comme si il était un enfant.»
« La haine et la colère aveuglait sa raison et sa concentration, il n’était qu’un enfant à mes yeux en se combattant ainsi.»
« Tu appartiens à une guilde de mercenaires ou tu es juste un guerrier errant‘»
« Poses tu toujours autant de questions à ceux que tu rencontres ‘ »
« Quand la personne est digne d’intérêt, oui »
Kokusho regardat l’étrange guerrier, il n’était ni beau, ni laid, ses longs cheveux blancs et sa peau claire le rendaient particulier, mais les traits de son visage étaient banals, ses yeux quant à eux étaient d’un gris bleu qui donnait à son regard un coté étrange.
« Pardonne moi Cellendhyle, tu t’es présenté, mais pas moi, je m’appelle Kokusho Kamigawa, je suis mercenaire guildé si l’on peux dire, mais cela est particulier, nous nous faisons appeler Ordre de Fenrir »
« Je ne connais pas, où est situé votre maison mère ‘ »
« Nous n’en n’avons pas »
« Mais, comment fait on pour vous proposer un contrat, ou pour faire parti de votre Ordre, et je ne parle pas de votre formation ‘ »
« Quand on veux nous joindre, nous le savons et nous allons au devant du demandeur, ce sont les formateurs qui trouvent les futurs membres, on ne fait pas parti de l'Ordre car on le souhaite, mais parce que nous y sommes destinés, notre formation s’effectue dans tout les terrains possibles, nous apprenons les bases de chaque arts qui nous est possible. Quand un contrat est signé avec l'Ordre, ce n’est pas un contrat comme on peut en signer avec les autres organismes, nous effectuons qu’un seul contrat tout au long de notre vie, on ne peut y mettre fin que par la mort du mercenaire ou celle de l’employeur. »
« Drôle d’organisme et c’est vous qui choisissez votre contrat ‘»
« Oui, une liste de contrats nous est proposé selon nos compétences, certains ne trouvent jamais et deviennent alors des formateurs.»
« Et donc si tu es ici c’est parce que tu as trouvé ton contrat je suppose.»
« Tu supposes bien, j’ai effectivement signé un contrat il y a peu.»
Cellendhyle se leva « Kokusho, j’ai été enchanté de te rencontrer, j’espère te revoir un jour. »
« Je serai souvent ici je pense, donc si tu me cherches hésite pas, sinon laisse un message à l’un des prêtres.»
Une fois l’étrange guerrier parti au loin, Kokusho ferma les yeux et se reposa, c’était l’une des dernières occasions où il pouvait se reposer au calme sûrement, autant en profiter.

Après quelques jours passés au sein du Temple, Kokusho se décida à retourner a Morroc, maintenant qu’il s’était suffisamment reposé, il pouvait commencer à remplir sa mission.
Par chance, Morroc se trouvait non loin de Prontera abritant les disciples d'Odin , un trajet de quelques heures de Peco suffisait à rejoindre les deux ville, les différences de climat aurait portées à croire qu’elles étaient séparées de bien plus pourtant.
Une fois arrivé à destination, Kokusho se dit qu’il faudrait qu’il prenne le temps pour faire le tour de la ville et découvrir le terrain.
A peine arrivé dans la vile qu’elle se trouva nez à nez avec une priestress dans un étrange manteau, son regard était tout sauf accueillant.
« Qui êtes vous et que faites vous là? »
« Kokusho Kamigawa, je suis un mercenaire engagé par l’un d’entre vous, le reste ne vous regarde pas.»
« Qui vous a engagé ? »
« Vous pensez que je vais vous le dire ?» Kokusho ne pu retenir un petit ricanement.
« Non, mais on sait jamais. »
« Et puis qui êtes vous pour me poser toutes ces questions ? »
« Couette , officier dela guild Valhalla, donc si tu es là pour te battre avec ou contre nous, c’est à moi que tu as à faire !»
Le ton de Couette était aussi glacial que la neige et aussi tranchant qu’une lame.
« Je suis là pour me battre avec vous pour la défense de votre Guilde, que vous le vouliez ou non, à partir de ce jour je porterai votre embleme, si vous êtes contre, allez trouver mon employeur de vous-même et demandez lui des explications, si vous souhaitez disposer de moi plus rapidement, vous devrez alors me tuer, mais sachez que quiconque osera remettre en cause ma détermination à vaincre pour la gloire du Valhallagouttera au fil de ma lame et devra s’en repentir.»
Sur ces paroles, Kokusho décida de retourner au Temple,il n’avait plus besoin de chercher un membre important de la guilde pour faire signaler sa présence, si cettepriestress est bien officier, alors cela suffisait. Kokusho avait été impressionné par la présence de cette priestress, son regard, ainsi que l’aura qui se dégageait de celle-ci donnait l’impression de faire face à un loup et il aimait cela, si tout les membres de cette guilde avaient un tel caractère et une telle présence, alors il avait fait le bon choix en les choisissant.

Je vais maintenant vous parler un peu de moi, vous avez pu voir qui je suis devenu et ce que je fait aujourd’hui, mais qui était-je hier, et qu’ai-je fait.

Je suis né dans une province bien lointaine appelée Louyang, c’est une terre bien vaste où le climat varie peu. De nombreux peuples vivent en ces terres, certains se font la guerre, d’autres font du commerce et d’autres qui ne font pas parlé d’eux.
Je suis né dans un petit village nommé Myasushi, là-bas ne vie que des paysans, c’est un village annexé à un peuple commerçant, son seul but est de produire en grande quantité des céréales et d’entretenir un troupeau de vaches.
Fils de paysans, ma vie était toute tracé à ma naissance, une fois l’âge atteint je devais me marier et travailler la terre, un belle avenir non ? A l’âge de 8 ans la femme que je devrais épouser était déjà décidé par ma mère, c’était une enfant d’un des « riches » propriétaires terriens de notre village, il faisait parti d’une des familles influentes.
Mais j’étais déjà décidé à suivre ma propre voie.
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Kokusho

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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 11:27

Un jour alors que je n’avais que 11 ans, un homme fut amené dans le village, il était couvert de blessures, il y avait à ses côtés une immense épée, sa ceinture avait pour boucle un loup à deux tête entouré de piques. Ce fut ma première rencontre avec un membre de l’Ordre de Fenrir. Cet homme fut soigné par l'acolyte du village, il avait été trouvé inconscient au bord d’un champ, le fermier en rentrant l’avait trouvé et appelé de l’aide pour pouvoir l’amener dans le village et le soigner.

L'acolyte malgré ses faibles compétences réussit à sauver le guerrier, après plusieurs jours passés à se reposer, il pu enfin sortir de sa couche et nous expliquer ce qu’il faisait ici. Un guerrier gravement blessé au bord d’un village commercial était impensable, malgré le fait qu’il n’y ait aucunes lois communes dans le pays, des accords avaient été passés il y a des siècles, et depuis ils ont été scrupuleusement respectés par tous, aucuns conflits près des zones d’habitat commerciaux ou autarciques, si cela était enfreint alors les communautés n’ayant pas respecté le traité se verraient écrasé par toutes les autres.

Une fois qu’il était assez remis, le guerrier nous expliqua pourquoi il s’était retrouvé ici. Il faisait parti d’une des armées d’une communauté guerrière, un affrontement avait eu lieu loin dans le sud des terres, mais le combat une fois fini, il fut pourchassé par une bande d’assassins, apparemment il était l’un des chefs d’armée de sa communauté et était redouté par son audace et ses compétences en tant que combattant et meneur de troupes. La poursuite s’était achevée non loin d’ici, il avait tué le groupe le poursuivant, mais il fut gravement blessé au cours du combat, il décida de suivre la route espérant tomber sur un village pouvant l’aider, mais il perdit connaissance au bord du champ.

Pendant sa convalescence le guerrier nous racontait tous les soirs des histoires de batailles et de quêtes menées par les siens, à ceux qui voulaient l’entendre, beaucoup d’enfant faisait parti de l’auditoire mais aussi quelques adultes. Je passais mon temps à ses côtés, il m’abreuvait d’histoires toutes plus fantastiques les unes que les autres. Un jour, je lui demanda pourquoi l’insigne de sa ceinture était différent de celui de ses habits, c’est à ce moment que je pris réellement connaissance de l’Ordre, il m’expliqua qui ils étaient, et qu’est ce qu’ils faisaient.

Puis un jour le guerrier reparti, il ne donna jamais son nom ni celui de son seigneur. C’est à partir de là que j’ai commencé à me démarquer des autres, décidé à mener aussi une vie d’aventure, je décida de m’entraîner, comme aucuns ne connaissait l’art des armes, je préparais mon corps pour devenir plus tard un guerrier. Au village, on me prit pour un fou, ma famille me renia et je fus chassé de mon village, ceux qui veulent se battre n’ont pas leur place dans un village comme celui-ci.

Décidé à devenir un aventurier je partis en direction des grandes villes combattantes, si il y avait des guerres, alors on avait besoin d’hommes, meme pauvres ? Mais la guerre n’est pas fait pour les fils de paysans en ce pays, ainsi pensait les recruteurs …

N’ayant pas le sous, je ne pu survivre longtemps dans les grandes villes, j’erra alors dans les campagnes à la recherche d’une école martiale prête à m’accueillir, mais tout ce que je récoltât fut de simple place de marmiton ou de palefrenier. Comme il me fallait de l’argent j’accepta ces offres, me permettant ainsi également de glaner des leçons théorique sur les combats, le soir je m’entraînai également à l’épée, mais sans professeur les résultats ne furent pas glorieux. A force d’agir ainsi, je fut expulsé de nombreux temples mais à la fin, cela ne me dérangea plus, si l’on me refusait d’apprendre la voie de l’épée, alors j’apprendrais par ma propre volonté, je me cacha dans une forêt au pieds d’un montagne, non loin d’un petit village isolé. Je vécu ainsi de ma onzième à ma seizième année. C’est au cours de l’été de mes 16 ans que ma vie rencontra un réelle tournant, je ne vivais que de ce que je trouvais dans les bois, ou bien ce que j’arrivais à obtenir du village sans qu’ils soient au courant, mais un jour, un des habitants du village me surpris alors que je repartais les mains pleines de légumes, je disparu rapidement, mais ils savaient que j’étais là et ils battirent la forêt à ma recherche, au bout de 4 jours ils me débusquèrent et je fut ligoté tel un animal, mais peut être n’étais-je qu’un animal aussi ? S’est ce que je pense aujourd’hui, mais je n’ai aucuns regrets.

Une fois ligoté, les villageois me traînèrent à la place centrale ou un vieux chêne s’y trouvait, sans même discuter entre eux, il m’attachèrent à la plus haute des branches de cet arbre, là l’un des plus vieux habitants me regardât et me dit « nous ne sommes pas des meurtriers, ni des justiciers, mais tu as pris ce qui ne t’appartenais pas, le ciel jugera alors si tu dois vivre ou non », puis ils partirent tous, nous étions en fin d’année, durant la période des tempêtes.
Les deux premiers jours furent calmes, personnes ne prêtât attention au vagabond accroché en haut de l’arbre, le soir du troisième jour, l’ancêtre repassa et me dit « Ce soir tu sera sûrement jugé, sinon ce sera demain petite, prépare ton coeur comme tu le peux », son regard n’était ni empli de méchanceté ni de pitié, juste de tristesse.

La tempête débuta en milieu de soirée, le vent souffla avec une telle force qu’il me semblait que je n’étais d’un simple fruit trop mûr au bout d’une jeune branche, après le vent, la pluie puis la grêle vinrent, mes vêtements furent déchiquetés en un rien de temps, ils n’étaient plus que des lambeaux, j’étais coupé de partout par la grêle, puis le temps se calma un peu, mais cela n’était pas la fin, le vent revint encore plus fort, mais cette fois ci l’arbre ne pu en supporter plus, la branche ou je me trouvait fut arracher et je tombât avec elle, par chance les autres branches ralentirent la chute et je ne fût que assommé. Je me réveillasse le matin, tout le village était autour de moi, le vieil homme me regardait avec un étrange sourire « Ta route continuera donc petit, mais prend bien garde à ne plus t’écarter de ta voie ». Même si je ne compris pas le sens de ses paroles à ce moment, je sus après cette période ou ma vie ne tenait qu’à un simple fil ne devait pas être gâché bêtement.
Après cette dure leçon, je repris la route, mais cette fois-ci je connaissais ma destination, j’étais décidé à trouver l’Ordre de Fenrir. Mais entre savoir qui l’on veut retrouver et où l’on doit aller, une grande barrière est à franchir, je m’en suis rendu compte très rapidement. Je suis allé de villes en villes demandant aux gens de différentes classes si ils connaissaient l’Ordre, mais personne ne pu me répondre ou juste qu’il connaissait de nom mais ne savait où se trouvait le camp de l’Ordre.

Je fus à ce moment saisie d’un grand désespoir, que faire, continuer à errer en essayant de glaner des informations, ou bien abandonner maintenant ? C’est à ce moment que je me suis souvenu de cet homme qui avait été sauvé dans mon village et qui appartenait à l’Ordre. Je décidai donc de me diriger vers la communauté où il vivait, espérant qu’il travaillait toujours là bas, après tout ce sont des mercenaires qui savent ce qu’ils vont faire d’un jour à l’autre ? Mais ce mince espoir était suffisant pour ranimer ma détermination.

Le voyage fut long, je m’étais jusqu’alors dirigé vers le nord et là je devais faire demi-tour pour aller tout au sud de de Louyang. Cela me pris plus de 5 mois pour arriver à destination, au cours de ma pérégrination j’ai pu voir de nombreuses villes, plus ou moins grandes, plus ou moins fortifiées, mais là, je n’arrivai pas à détaché mon regard de la cité, elle était magnifique, d’une grandeur époustouflante avec le palais trônant au coeur de la ville, la dominant majestueusement, ses mûrs étaient d’un blanc pur, renforcé par un pourtour noir jais ; la ville tout entière était entouré par des murailles gigantesques aux mêmes couleurs que le palais, mais ce qui m’a le plus impressionné était les portes de la ville, elles étaient aussi haute que 5 hommes et assez large pour laisser passer 4 charrues, chaque battant étaient bougés grâce à un mécanisme complexe que seul peu de gens connaissaient.

La splendeur de la citée renforçait le contraste avec la population y habitant, étant une communauté guerrière, la grande majorité de la population était de fait l’armée de la citée, seul restait les vieux, certaines femmes, les enfants et les rebus de la société.

Je m’avançai vers les portes pour entrer lorsque je fus interpellé par un des gardes en faction.
« Hé petit, tu vas où comme ça ?? »
« Je viens voir Clayb »
Le garde me regardât d’un air étonné « Et tu es qui pour demander à voir le général en chef ? »
« Je fais parti du village qui l’a sauvé il y a de ça quelques années, et je voulais lui demander un service »
Le garde ne pu se retenir de rire.
« Et tu penses qu’on va te laisser entrer comme ça gamin ? Tu empestes à 10 mètres à la ronde comme un étable de Peco ; et qui me dis que tu n’as pas été acheté par une des cités des alentours pour nous espionner hein ?!! »

Le garde me saisi par le col pour me jeter au loin, surpris j’atterri violement par terre m’éraflant le visage et les mains.
« Maintenant retourne dans ton étable sale morveux, sinon je t’embroche et je pendrais ta carcasse puante sur la grande route pour effrayer ceux de ton espèce ! »

J’essayais de me relever, mais sonné par la chute je n’arrivais qu’à me mettre sur les genoux. C’est alors qu’un grondement sourd se fit entendre, je me retourna pour regarder l’origine de se bruit et je distingua au loin un épais nuage de fumée, très rapidement le nuage devint un important groupe de cavaliers.

Une fois arrivé aux portes le groupe s’arrêta, je me trouvais à la hauteur de la première ligne de la cavalerie, tous les cavaliers étaient lourdement armée, l’un d’entre eux portait un magnifique étendard blanc et noir et juste à coté un autre portait un casque et une armure plus massive que tout autres cavalier. L’un d’entre eux s’avança et annonça d’une voie forte et claire « Le général des armées rentre victorieux à la grande citée de Louyang, que les portes s’ouvrent devant lui ! »

En entendant cela, mon coeur se sera, craignant de ne pouvoir le voir autrement je réussi à me lever péniblement et je m’avança vers le groupe de cavaliers, c’est alors que le garde se manifesta de nouveau
« Hé là qu’est ce que tu crois faire ! Je t’ai dit de dégager ! »
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Kokusho

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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 11:28

Il m’agrippa par le bras pour m’éloigner du groupe mais je réussi à me dégager de son emprise, j’alla droit vers le cavalier à la lourde armure et je me posta devant lui. Son heaume m’empêcha de le reconnaître mais j’étais sur que c’était lui. Je senti le regard du cavalier me peser sur les épaules. D’une voie froide il me demanda :
« Qu’est ce que tu veux petit ? Un coin pour dormir, à manger, du travail ? »
Ma gorge était noué, je ne réussi qu’à faire non de la tête. Exaspéré le chevalier se tourna vers le garde.
« Hé Mark, il veut quoi la petit ? »
« Il veux vous voir mon Général. »
« Ah ? Et pourquoi ? Il te l’a dit ? Parce que là on dirait qu’il veut juste qu’on la piétine. »
« Il a dit venir du village qui vous a sauvé la vie il y a quelques années, comme si un paysan avait pu vous sauver mon Général ! »

Le chevalier me regarda plus longuement cette fois ci.

« Je me souviens de toi, c’était il y a 5 ans, tu habites un village vers le nord si je me trompe pas, tu es bien loin de chez toi. Bon je vais pas te laisser ici, tu vas me suivre et on va discuter un peu tout les deux.»

Clayb me tendit son bras et me fis monter derrière lui. La troupe se remit en marche et on traversa toute la ville jusqu’aux écuries du palais. Une fois arrivés, Clayb descendit de cheval et me fit descendre ensuite, puis nous traversâmes les écuries pour nous diriger vers le palais.
« Alors, que fais tu si loin de chez toi ? Il est arrivé quelque chose de grave à ton village ? »
De honte, ou de timidité, ou impressionné par cet homme je ne pu m’empêcher de baisser la tête et de bafouiller.
« Non monsieur, en fait je sais pas monsieur, je suis partie du village quelques temps après vous. »
« Ne m’appel pas « monsieur » ça me vieilli ! » Sur ces paroles Clayb parti dans un grand rire.
« Bon, sinon pourquoi es tu venu me voir petit ? »
« Hé bien … je … Je … »
« N’ai pas peur, je vais pas te manger. »
Rassuré par ces paroles je réussi à dire ces mots avec toute la conviction que je pu rassembler en moi.
« Je veux devenir un mercenaire comme vous ! »
Etonné par ces mots Clayb resta silencieux pendant quelques secondes.
« Alors c’est pour ça que tu es parti de chez toi hein? Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que c’est, mais tu as l’air bien décidé. Ici nous ne formons pas de mercenaires, je ne vois pas pourquoi tu es là.»
« Mais vous pouvez me dire ou se trouve l’Ordre de Fenrir ! Vous pouvez au moins me dire ou je pourrais le trouver et suivre leur formation ! »
« Ce n’est pas l’homme qui vient à l’Ordre mais l’Ordre qui vient à lui il parait, et je puis te le confirmer par de nombreux exemples. L’Ordre n’a pas de campements ni de bases, ni de villes, il vit à travers tout Midgard, si ils décident de te choisir alors ils viendront à toi. »
Déçu par ces paroles, toute la fatigue de mes voyages, le manque de nourriture me fit tomber à genoux, je ne pu retenir mes larmes de désespoir et de colère.
« Allons, allons, ne te mets pas dans des états pareils… Je vais voir ce que je peux faire pour toi petit, tu pourras peut être suivre une formation ici, nous avons toujours besoin de combattants.»
Clayb m’amena dans les quartiers des apprentis combattants, tous les jeunes de la cité vivaient ici, garçons, filles, de tout âge et de toutes classes sociales, ils étaient égaux devant les instructeurs et leurs pairs. Lorsque nous entrâmes dedans, tous les occupants se mirent au garde à vous devant leurs couches.
« Tu vas dormir ici et voici tes nouveaux compagnons. Demain matin tu feras la connaissance de ton instructeur ainsi que de ton groupe d’apprentissage. »
Plus bas il me demanda « Comment t’appelles tu petit au fait ? »
Je lui répondit discrètement « Kokusho mon Général »
« Voici votre nouveau camarade, Kokusho, montrez lui une couche de libre et expliquez lui les règles de vie ici. »
Tout le monde répondit d’une seule voie « Bien mon Général ! »

On m’amena vers le bout de la pièce pour me montrer ma couche et mon armoire, elle comportait déjà des armes et une armure de cuire d’apprenti. Le jeune homme qui m’a montré la couche m’expliqua d’un ton monotone que c’était la couche de son cousin, il était mort hier durant un entraînement, ça c’était passé durant un entraînement avec des armes réelles, sur le même ton il m’éxpliqua que seul les méritant et les forts survivent, il n’y a pas de place pour les faibles. De taille petite et assez frêle je pris cette remarque pour moi, mais je préférai me taire pour le moment.

Le même garçon m’accompagna à l’armurerie pour que je puisse recevoir mon équipement, sur le chemin je lui demandais qui il était et depuis combien de temps suivait il la formation, il me répondit qu’il était le fils d’un simple soldat et que depuis qu’il sait marché il apprend à se battre.
Après avoir rangé mes affaires, un sergent sonna l’heure du repas, tout le monde se dirigea vers l’extérieur, ne sachant ce que je devais faire, je suivi tout le monde. Une fois dehors, on fut mit en rang, puis on nous mena au réfectoire, on nous y servis une espèce de ragoût. Au bout d’une heure un autre sergent sonna la fin du repas, nous repartîmes vers nos quartiers, une fois tout le monde à l’intérieur nous dûmes nous coucher et les lampes furent soufflées.

Cela faisait des années que je n’avais dormis dans un simple lit de paille, à peine couché je m’endormis rapidement. Ayant le sommeil léger, je fut réveillé en plein milieu de la nuit par d’étranges bruits, comme si on se battait dans le dortoir, je me redressa discrètement et une fois mes yeux habitués à l’obscurité je pu apercevoir des silhouettes entourant un lit, ils battaient l’occupant avec les fourreaux de leurs épées entouré d’un drap, à ce moment je me suis souvenu des paroles de celui qui m’avait accompagné à l’armurerie « seul les forts survivent », je pris mon épée et la posa sous mon oreiller, je serai peut être tranquille ce soir, mais qui sait demain soir ?

Nous fûmes réveillés à 5h le matin, on nous amena dans la cours et on m’affecta à un groupe de 7 apprentis, 3 garçons et 4 filles, chaque groupe comportait presque autant de filles que de garçons. Notre instructeur était un vieille homme légèrement bedonnant au langage fleurit.
« Alors les mouflets, bien dormis ? V’ci la p’tite n’veau Krok »
« Kokusho monsieur »
Il me lança un regard noir.
« Tu m’f’ras 50 pompes et 10 tours de la cours au pas de course pour ton impertinence ! Et tout de suite ! »

Au cours de mes années d’errance je m’étais entraîné seule, ce qu’il me demandait de faire n’étais qu’un échauffement pour moi, j’étais assez fier de ma résistance physique malgré ma maigreur.
Pendant que j’effectuais ma punition, mon groupe commença sa leçon théorique maniement des armes de mêlées, je les rejoignis juste avant la fin du cours, notre instructeur était peut être un rustre, mais il connaissait son métier.

Le matin nous suivions des cours théorique sur le maniement des armes, les stratégies et tout autres savoirs nécessaires aux combats, l’après midi nous passions à la pratique, armes de mêlés, arc, arbalètes, équitation. Vers la fin de la journée des combats entre membres des différents groupes étaient autorisés, mais cela ressemblait plus à des règlements de compte.

C’est à ce moment qu’ils essayèrent pour la première fois de me piéger. Un garçon me dépassant de plus de deux têtes se dirigea vers moi et me provoqua en duel, bien sur la coutume voulait qu’on n’ait pas le droit de refuser, toutes expériences sont bonnes à recevoir.
L’on ne me laissa pas le choix des armes, je du prendre une épée à deux mains presque trop grande pour moi, je ne savais comment m’en servir alors que lui semblait à son aise. Tout le monde se groupa autour de nous deux, tout le monde supportais mon adversaire, des cris insultants me furent lancés, mais je n’entendais plus, j’étais totalement concentré sur mon adversaire.

Aucunes règles ne régissaient le combat, la mort était acceptée et tous les coups étaient permis. Mon adversaire se rua sur moi l’épée en avant pour m’embrocher comme un vulgaire mannequin, j’évitai le coup de justesse, mon arme ralentissait mes mouvements. J’étais dans le dos de mon ennemi, mais j’arrivai difficilement à lever mon arme, je ne pu que la lever à hauteur de taille et lui faire décrire un arc de cercle, la journée m’avait vidée de mes forces. Voyant ma faiblesse mon adversaire lança un nouvelle assaut, identique au même, je réussi encore une fois de justesse à l’éviter, mais cette fois ci dans mon élan je balança mon épée comme si je voulais la jeter au loin tout en serrant le plus fort possible sa poignée, mon épée décrivit un arc de cercle ascendant en direction du cou du jeune homme, celui-ci évita de peu la lame mais reçut une belle éraflure sur le torse, entraîné par l’inertie de mon arme je me retrouvai déséquilibré, il profita de l’occasion et lança un nouvelle assaut mais sans plus de convictions. Décidé à ne pas perdre, je lâcha mon arme au moment ou la lame de mon adversaire percuta le sol avec violence là ou je me trouvais une seconde plus tôt, je me précipita sur mon adversaire profitant de son hésitation je lui lança un coup de pied dans son entre jambe, puis je lui donna un coup de tête en plein sur le nez, j’entendis le cartilage se broyer sous la pression de mon front. Mon ennemi tomba par terre le nez en sang se tenant les parties avec ses mains.
Toute l’assemblée était silencieuse. Je franchi la foule en direction des abreuvoirs afin de me rafraîchir, là je retrouvai les membres de mon groupe, ils me regardèrent comme si de rien était.

Après cet épisode je fut tranquile pendant quelques jours, cela me surpris, mais je pu me donner pleinement dans mon entraînement, le combat que j’avais fait me montra clairement que je manquais de force, d’ingéniosité de techniques et de rapidité, ce piètre combat renforça ma volonté d’apprendre.


maintenant enjoy ^_^ (j'avais deja tout mis sur un autre forum c'est pour ça que le temps entre les post est aussi court)
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YueyeHua

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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 20:17

WOW !!!!
bah tu sais quoi ?
Bah, je le lirai au boulot quand je me fais chier... -_-'
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 20:26

bosse fégnasee è_é

patapay >.<
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 22:43

j'vais l'interdire de poster lui... scratch J'ai lu le premier post mais le triple flood là ! cyclops
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 23 Oct - 23:32

c'est pas du triple flood mais il voulait pas prendre mon post en entier donc j'ai dut le séparer en plusieurs parties
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Herwen

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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMer 24 Oct - 9:14

XD

Je viendrais lire par brides quand je ferai des pauses sp. :p
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 30 Oct - 22:31

pendant le down, j'me suis dit que j'aurais le courage de lire, mais non.. c'est pas possible tu écris trop, t'es chômeur ou quoi ?! lol!
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitimeMar 30 Oct - 22:42

je fais du 20h / semaine
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MessageSujet: Re: un p'tit kokusho   un p'tit kokusho Icon_minitime

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